• La science classique s’arrête où commence le chaos. Henri Masson, 25 Octobre 2019.
• A visualiser également, une vidéo de Tim Palmer :
Tim Palmer est physicien mathématicien de formation. Il a passé la majeure partie de sa carrière à travailler sur la dynamique et la prévisibilité du temps et du climat. Dans cette vidéo il expose clairement les difficultés des modèles climatiques à prévoir l’avenir.
Le caractère indéniablement non linéaire et chaotique du système climatique démontré dans cette vidéo a comme conséquence mathématique immédiate que les effets ne s’additionnent pas (comme dans un système linéaire) et qu’il est donc (mathématiquement) impossible d’isoler une contribution anthropique des fluctuations cycliques (mais a-périodiques) naturelles.
Par ailleurs, comme très bien illustré dans la video avec les équations « papillon » de Lorenz, l’horizon de prédictibilité d’un tel système chaotique est très limité.
L’approche du GIEC est non seulement mathématiquement incorrecte, mais les projections (alarmistes) à plusieurs dizaines voire une centaine d’années n’ont tout simplement pas de sens!
Il ne faut pas non plus oublier que les modèles mathématiques employés par le GIEC sont basés sur une équation qui fait augmenter la température de la troposphère lorsque la concentration du CO2 atmosphérique augmente. Les modèles prédisent donc ipso facto un réchauffement. Mais si l’équation de départ est fausse, tous les résultats proposés par les modèles seront faux. Le résultat des modèles climatiques ne sont donc pas des preuves…